2x03 – Inventing The Girl

Maintenant à chaque fois que je vois une fontaine "plain-pied/plate" étalée au sol comme celle de l’épisode, je pense à Castle.

Là encore, comme l’épisode dernier, on aborde le "domestic abuse": le mari jaloux comme pas deux, tue son épouse pour la garder auprès de lui. La posséder jusque dans la mort. Enfin il le dit pas mais c’est l’idée: "si t’es pas avec moi, tu seras pour personne!".
Tout ça dans le monde du mannequinat avec en prime une ancienne baby-sitter d’Alexis qui se retrouve rapidement parée d’une ceinture de chasteté (très bonne métaphore que nous offre Beckett) quand Castle découvre qu’elle n’est pas si disponible, parce qu'elle devient "comme sa fille". De l’autre Beckett qui fut modèle le temps d’un été. Ce que Ryan et Esposito découvrent grâce à un appel à Jim qu’ils ont passé. Comme ça on sait donc qu’ils sont en contact les uns les autres: au moins le numéro de téléphone et que Jim doit bien les aimer pour avoir accepter de dévoiler l’info. Info que Beckett leur fait jurer de taire à Castle.

Il n’en résulte pas moins que j’ai du chagrin – comme B&C d’ailleurs – devant la colère infondée du mari-meurtrier puis sa peine de savoir qu’elle ne voulait pas le tromper.

Quant à Beckett qui en veut à Castle parce qu’il ne lui a pas offert en avant première son roman, c’était inattendu et ça reste toujours aussi adorable.
Et ce qu’il dit à la fin quand elle lui demande comment Nikki passerait sa fin de soirée pour décompresser et qu’il lui dit "She would go home, pour a stiff drink, run a hot bath, read a good book". On voit Beckett intéressée et en prime on la verra au prochain épisode mettre les mots en actions.